RP à long terme(Massacre à Palo Alto)ne pas poster ici.(2)

Les quelques blessés du combat sont en plein traitement afin de les rendes aptes à se battre pour la grande guerre. J’ai maintenant une partie encore plus grande des troupes demandées et, elles sont tout aussi fortes que les anciennes mais, encore une fois, il leur manque d’expérience de combat. Il faut toujours recommencer ce long cycle d’entraînement dès que des recrues arrivent et, ce n’est jamais très agréable. Il faut tout planifier, tout vérifier, même si les premiers à attaquer sont des frigos, il faut tout de même s’occuper de leurs cas et, tout expliquer à chacun. Une chance que le résultat est ensuite concluant et, que l’ensemble de mes soldats deviennent d’effroyables machines de combat grâce à cela! Comment peuvent-ils déserter quand ils ont toutes ces expériences vécues qui leur ont donné un plus grand sang froid. Certains pourraient tuer tous ceux qu’ils croisent sans même avoir de remords. Ils savent que, de toute façon, la fin de la vie de tous arrivera un jour, ils n’ont fait que la devancer eux! La police n’est rien contre eux, c’est pour cela que le commerce est florissant. Quand personne ne vous mets de bâtons dans les roues pour commercer, vous êtes un véritable homme d’affaire et quand les autorités ne réussissent pas à vous empêcher de faire de la contrebande, vous êtes un mafioso né.

Non, c’était lui, toujours avec le même sourire, toujours de la même façon, je suis pas sur que Moimeme réussira réellement à aller me chercher! Après tout, il a beaucoup moins d’unités que ce type et, beaucoup moins de force d’attaque aussi. J’ai hâte de voir si je serai assez chanceux pour qu’il réussisse d’une manière ou d’une autre. D’ailleurs, qu’est-il arrivé à famille d’Obro? Sont-ils encore existants? Si oui, qui est leur nouveau parrain? Est-il assez compétent pour ce job? Encore une phase de questionnement, après tout, je crois que ça revient en cycle à cause de cette prise d’otage. Dans 1 semaine, cette période reviendra t’elle? J’espère seulement être à la hauteur de cette épreuve et parvenir à la surmonter afin d’être plus fort et de m’occuper, avec mes sauveurs qui arriveront peut-être un jour, de tuer le chef de cette mafia locale. Je n’ai rien contre mes geôliers car je souffres probablement du syndrome de Stockholm mais, le cerveau de l’opération, je suis tout simplement incapable d’avoir le moindre sentiment envers lui excepté la haine. C’est enfin l’heure du repas et, miraculeusement, c’est la même chose qu’hier! Est-ce qu’ils vont changer de repas à chaque semaine ou, sommes-nous assez chanceux pour tomber sur des restes d’un ancien repas, j’ai hâte de voir car, après tout, c’est ma santé mentale qui risque d’en prendre un coup si je retournes à cet infect pain! Je ne crois même pas retoucher à cela avant plusieurs années, et encore, c’est seulement si je réussis à en manger car, j’aurai trop de mauvais souvenirs associés à ce simple plat. En tout cas, je vais manger et peut-être jouer une partie de carte après, histoire de se détendre avant d’aller dormir!

Dans mon QG, tout est encore calme, comme toujours d’ailleurs, à peine d’attaquants viennent et, rares sont les diplomates! Dans un endroit pourtant bien placé, personne ne vient se présenter. Est-ce par peur de moi ou par mépris? Probablement par peur, je suis tellement bien classé et, mes unités sont en pleine forme! Pourtant, j’ai un sentiment intérieur me dictant qu’aujourd’hui sera différent de l’habitude, qu’un petit changement aura lieu mais, rien de majeur donc, je vais probablement tuer une bande de casseurs, frappant avec un poing américain, une simple sophistication comparativement à leur origine : les hommes des cavernes. Ils ont abandonnés la massue pour un article plus court! Non mais, il faut être idiot pour faire cela! Après tout, s’ils n’ont pas débloqué les mercenaires, c’est de leur faute! Ils n’avaient qu’à commencer avant ou à mieux gérer leur compte bon sang! Tout de même, je me sens bizarre, peut-être que ce sera plus gros que je le croyais finalement ou, ce n’est peut-être pas aujourd’hui. Je ne connais qu’un moyen de contrer cela : Production immédiate de nouvelles unités pour leur faire peur avant qu’ils songent même à attaquer! Tiens, j’avais raison, un petit chef non évolué m’attaque avec quoi? 5 à 10 casseurs environ? Ce sera trop facile! Je vais laisser un mercos à couvert à l’extérieur mais, non, s’il était malchanceux, j’en laisserai 500, ce sera presque assuré comme victoire pour moi! Par contre, ce sera leur premier combat, j’enverrai donc tous mes bataillons contre eux. 3, 2, 1 FEU À VOLONTÉ!!! Et voilà, 1 minute à peine après leur arrivée, tout combat est maintenant terminé. C’était trop facile! Je sais que je suis le meilleur après tout. À suivre…

Enfin, la fin de semaine, un petit deux jours plus relax fort bien mérité! Après toute cette planification de guerre et ces esquives de raids puis l’organisation d’une défense, faute à mes informateurs qui ont probablement oubliés de m’avertir que ces 100 troupes là venaient vers mon bâtiment principal! À cause d’eux, un des miens est fortement blessé et à l’hôpital, ce qui ajoute un lieu à surveiller donc, moins de défenses pour ma base. Au moins, ils se sont faits réprimander de la bonne façon! Les mêmes blessures ont été infligées à celui qui s’occupait des chemins par lesquels ils sont passés. Cela lui apprendra à ne pas porter attention sur un groupe armé jusqu’au dents à l’avenir! Je l’ai d’ailleurs fait remplacer par un homme de confiance car, c’est le chemin le plus utilisé par mon antagoniste pour venir chez-moi. Maintenant, il devra s’en trouver un autre pour faire cela une fois de plus! C’est en plein pendant ces réflexions que je reçois un appel de la part de mon premier membre, d’un de mes admis les plus influents, de mon chef de wing : Yeiayel.

-« Bonjour Moimeme. Comment allez-vous chef?

-Très bien, et toi?

-Assez mal, c’est justement pour ça que je vous appelle.

-Mais, qu’y a-t-il? Duke vous a envoyé toutes ses troupes?

-Non, pire, la police est à mes trousses et va peut-être bientôt m’arrêter, je vais résister autant que possible mais, je ne sais pas si je pourrai faire le poids!

-Si tu as besoin d’aide, donnes-moi un coup de fil, je t’enverrai toutes mes légions afin que tu puisses te défendre.

-Merci de votre aide, je vais devoir partir maintenant, au revoir.

-Au revoir. »

Comment avaient-ils appris que Yeiayel était dans ce commerce? Il passait pour un honnête homme quand il marchait dans la rue et, ses opérations étaient menées de main de maître afin que l’état ne puisse jamais le retracer! Je suis presque sur que c’est un coup monté pour le tuer et, son auteur est probablement connu de tous, surtout Léon… À suivre…

En arrivent chez-moi, je remarque qu’un message a été glissé sous ma porte. Je le lis donc : Des espions sont en route vers mon bâtiment et arriveront dans 50 minutes. Je connais déjà l’expéditeur! Je renvoie donc une grande partie de ma force de combat dans mon QG d’urgence. Je garde tout de même une dizaine de troupes et, je les préviens de l’arrivée imminente de ces visiteurs non demandés. Dès qu’ils arriveront, ils verront qu’un petit nombre de mercenaires les attendent et, ils se feront tuer. Ensuite, je vais donner le rapport à leur place et le gonfler : 5 000 mercenaires et 25 Moimeme. Il devrait comprendre le message… du moins, s’il est ne serais-ce qu’un tout petit peu intelligent. Enfin, ils arrivent! Je les laisse ouvrir la porte et avoir la surprise! Il n’y en a que deux. Ils prennent deux portes différentes et, ils tombent sur mes meilleurs hommes restés sur place! Ils se font tuer par un Beretta muni d’un silencieux et, leurs assassins les tuer en arrivant par derrière donc, aucune chance qu’ils aient pu donner un quelconque rapport à leur supérieur. Parfait, j’empoignes donc un de leur walkie-talkie et signales le message prévu. Ensuite, je garde ces derniers afin d’entendre les ordres de leur chef pendant la guerre et décider des miens par après. Maintenant, il est arrivé l’heure d’aller dormir car, il est rendu très tard ou plutôt, très tôt. J’ai hâte de voir les résultats!

Putain! Il m’a eu sur ce coup et, c’est malheureusement 2 à 1 pour lui en ce moment. Pourtant, ne suis-je pas le meilleur? N’est-il pas qu’un simple joueur inexpérimenté? Ai-je la poisse? Non, je suis le meilleur et il est inexpérimenté, c’est assuré! Malheureusement, rien ne me le démontre pour l’instant! Je veux le voir mourir au plus vite, je veux le voir manger les pissenlits par la racine d’ici quelques jours! Est-ce que mes mercenaires vont m’exaucer ce souhait ou bien, resteront-ils assis à ne rien faire pour m’aider? J’espère que non car, s’ils n m’aident pas, ils se feront empaler et remplacer. Si la prochaine génération fait de même, ils recevront le même sort que leurs ancêtres et, si ça continue, je massacrerai tous les habitants de cette planète! Je me fous de l’idée que vous avez tous : C’est impossible. Je m’en fous royalement. Vous verrez, je vais tous vous démolir un par un, en commençant par toi, toi qui me lit, toi qui connaît mes plans, toi qui me fait perdre patience, toi qui me trouves idiot, bref, toi, tu te connais. Je vais tellement te défigurer que même ta propre mère ne saura te reconnaître. Tu es cuit! Je sais où tu habites donc, je sais où aller pour te détruire. Non, je ne suis pas fou, je sais ce que je dis et fais. Malgré les nombreux verres de vodka, je sais ce que je dis. Moi, le kidnappeur de Léon, l’ennemi par excellence de Moimeme, je vais tous vous détruire! À suivre…

Je me réveille enfin. Je vais donc immédiatement dans mon bureau. Là, sur mon bureau, une feuille de papier vient d’y être ajoutée. Je la lis donc : « 50 000 armes, des Kalachnikovs, viennent d’arriver dans le bâtiment 153 California Street sans qu’aucune commande ait été passée. C’est très louche cette histoire, je vous demandes donc à ce bâtiment, merci d’avance, votre directeur du 153. » Je mets mon manteau et, prends immédiatement la direction de ce lieu. En y arrivent, la grille m’est immédiatement ouverte et, mon directeur vient m’ouvrir la porte. Il me donnes le compte-rendu et, m’emmènes vers la salle où les livreurs sont retenus afin que je puisse voir l’interrogatoire. Lui et moi sommes cachés derrière une vitre miroir et, un des mercenaires s’occupe d’interroger les ennemis. Nous ne savons toujours pas d’où ces choses viennent ni l’identité de l’expéditeur mais, nous devrions le découvrir bientôt. Ça y est, ils ont enfin parlés! Je me doutais bien de leur provenance et, j’avais bien raison. Elles viennent du QG du kidnappeur de Léon. Il vaudrait mieux les détruire car, il a probablement averti les autorités ou, il les a truquées. Je me fais emmener vers la salle où elles sont entreposées et, j’en prends un. Il est très léger, trop léger même. Ils se sont vraiment faits avoirs! Ce sont des armes en plastique! Il voulait seulement remplir mes dépôts pour ne pas que j’en fasses d’autres! Non mais, quel adversaire de bas niveau. Voila un premier problème qui est enfin réglé. Un autre m’attend sûrement d’ici à ce que je sois prêt à le massacrer mais, j’espère savoir le résoudre comme celui-ci.

Un de mes espions me donne un rapport : « Vos transporteurs ont parlés. Ils savent que l’expéditeur c’est vous. Ils ont aussi découvert la composition des armes. Nous ne pourrons pas utiliser cette technique. ». Joie! Cela veut dire que, s’il continue à me déjouer, il sera plus difficile à battre que prévu. Tout de même, les dix détenus devraient le décourager! Il est pris devant un grand dilemme car, s’il veut ravoir ses mercenaires, il devra me démolir et, quand il le fera, je vais les tuer et, s’il ne les tues pas, il perd ses meilleures troupes. Je suis tellement fier de mon coup! J’espère seulement réussir à le démolir car, il commence à monter dangereusement et, je n’aime pas trop savoir ses légions prêtes à me dépasser à n’importe quel moment. Je vais demander à mes informateurs de me tenir au courant de son avancement avec un rapport quotidien. Je crois que je devrais retourner dans mon bureau car, une pile de documents importants m’attend.

L’entraînement parfait commence pour mes nouvelles recrues car, une guerre a commencé chez les PFS et, un des adversaires a insulté ces précieux alliés que nous avons donc, je vais le massacrer. J’ai déjà ma tactique, 1 mercenaire par bâtiment et, 6 casseurs fraîchement recrutés pour lui montrer il est inutile jusqu’à quel point! Aussi, un simple coup de téléphone doit lui être passé donc, je vais le faire à l’instant. J’appelles son QG.

-Oui, Zordman à l’appareil.
-Un emballeur : mille dollars;
Un transporteur : cinq milles dollars;
Un mercenaire : cinquante milles dollars;
Poutrer un type pour ses insultes : Ça n’a pas de prix.
Pour le reste, il y a Master Card.

Je raccroches donc normalement mais, sans dire au revoir, bien entendu! Il comprend probablement le message à l’heure qu’il est et, il voit probablement déjà la troupe arriver. Dommage, il aura probablement pas le temps d’envoyer ses petites unités plus loin! Un beau rapport de combat assez humiliant à venir. À suivre…

Enfin, j’ai reçu le rapport. Je lui ai seulement tué 30 emballeurs. Il a probablement envoyé ses unités dans un autre repaire. Je devrai donc l’attaquer encore quelques fois cette semaine. Au moins, je l’ai privé de sa franchise de transport dans ce bâtiment! Prochain massacre, je le priverai de ses défenses et troupes offensives. Comment pourra t’il résister à mes unités avec les sous-fifres qu’il emploi? Logiquement, il n’est pas encore rendu au stade de développement où les mercenaires sont de mise. Ses troupes paieront de leur sang pour les imbécillités de leur parrain. Quand aucun de ces derniers ne sera encore en vie, se sera à son tour de se faire empaler. Même ses parents seront incapables de reconnaître son visage tellement ma vengeance sera cruelle. Contrairement à mon habitude, je laisserai le cadavre à un endroit à découvert afin que tous puissent voir ce qui arrive aux gens qui s’attaquent à moi. Maintenant, plus aucun don n’osera s’attaquer à moi, du plus fort au plus faible, du plus petit au plus grand, de celui des bas fonds de New York à celui des quartiers les plus huppés de Los Angeles. Je serai au top de ce marché, je serai le plus grand car, après tout, la faim justifie les moyens.

Toujours cette prison, nous avons décidé de changer de jeu de cartes car, le poker est amusant, mais on se tanne vite! Malheureusement, à part le Poker et le Black Jack, aucun jeu de carte n’est intéressant selon notre point de vue. On est rendu à jouer chacun notre tour à solitaire. Il faut vraiment être au comble du désespoir pour faire ça! Une chance qu’ils nous donnent un peu d’alcool afin de rester le plus longtemps possible sans voir le temps passer. Je ne crois pas que Moimeme viendra un jour. Je ne crois plus à l’idée d’être secouru. Je ne vois tout simplement pas comment fera t’il cela, je commence des conversations avec les gardes et, certains sont impressionnés car, ils n’ont jamais vu un combat. Heureusement pour eux, c’est tellement violent! Ils pourraient mourir et, dès que t’en gagnes un, ton chef t’en demandes un autre! C’est seulement avec chance que tu survis à tous et meurt d’une mort naturelle. Si seulement ils l’apprenaient, si seulement ils tenaient un peu plus à rester inconnus, si seulement… Malheureusement, c’est trop tard pour eux, leur chef leur demandera un jour d’y aller et, plusieurs n’en reviendront jamais.

Pourquoi est-ce si difficile de garder des joueurs prisonniers? Pourquoi faut-il que cela coûte autant et que mes fonds soient de plus en plus petits au fur et à mesure que les journées passent? J’avais toujours pensé que c’était pas trop cher et, dix, cela me semblait un bon nombre mais, pourtant, j’ai actuellement l’impression qu’un seul serait suffisant. Peut-être devrai-je en relâcher quelques-uns bientôt. Cela, bien entendu, contre une compensation financière de Moimeme. Je devrais peut-être lui demander un cent milles dollars par prisonniers. Et, je pourrais peut-être tous les libérer afin d’utiliser ce nouveau million pour faire de nouvelles troupes car, s’il se prépare à m’attaquer, cela pourrait toujours m’être utile. Malgré moi, je crois qu’il est de plus en plus près de m’avoir. Pendant que je m’adonne à ces réflexions, le téléphone sonne.

-Chef, un bâtiment non identifié viens d’être créé dans le quartier, est-ce que j’envois les espions?

-Ouais, envois des espions là-bas, je veux connaître le proprio.

-Attendez, je vois une force de 600 mercenaires y entrer! Je ne demande plus que votre autorisation pour attaquer ou espionner.

-Quoi! Envoyez-moi tous les mercenaires qu’on peut envoyer.

-Mais, chef, nos moyens sont limités et…

-Fais ce que je te dis!

-OK, j’y vais.

À suivre…

Bon, au moins ce petit fonctionnaire à mes dépends a exécuté l’ordre malgré ses réticences! Par contre, quelle était la raison de ces dernières? Je devrais le savoir après avoir reçu un beau rapport et gagné ce combat. Tiens, voilà d’ailleurs le rapport. Quoi! Je n’ai pu envoyer que 100 unités! Elles se sont toutes faîtes massacrer. Je connais maintenant la raison pour laquelle le superviseur de mon quartier général ne voulait pas envoyer les unités. J’ai si mal agi. Les mercenaires que je garde en otage me coûtent trop, je ne peux même plus envoyer un espionnage contre quelqu’un maintenant. J’ai gaspillé mes derniers dollars. Maintenant, j’en ai la preuve, je dois négocier la libération de ces fous. Même s’ils me servent comme arme de dissuasion contre Moimeme, je dois les relâcher pour que l’argent coule encore à flot. Tout d’abords, il faut que je trouve des termes plus élevés que le minimum demandé étant de cent mille dollars. Disons 150 000 dans ce cas. Aussi, je dois le contacter et organiser un rendez-vous ans un endroit fort lointain pour qu’il soit dans l’impossibilité de me tuer avec des tireurs embusqués et, surtout, changer d’endroit à la dernière minute. Alors, les choix possibles sont : L’ancien abattoir de Vicente Street, dans le sud de la ville, le parc d’attraction un môme s’est tué il y a quelques années, il est maintenant fermé donc, pas de risques que la police découvre quoi que se soit, le Angel Island State Park serait tout aussi intéressant vu que le seul accès et le bateau et qu’il n’y a qu’un garde durant la nuit, nous avons aussi le Oakland Inner Harbor, il n’y a pas un chat là après 7 heures, puis, finalement, la gare de triage de Richmond Parkway. Je vais probablement lui demander de se rendre au vieil abattoir puis, le faire venir dans le vieux parc. Il ne me reste plus qu’à l’appeler… Voyons si la réponse sera positive! Je l’espère car, sinon, ses troupes mangeront les pissenlits par la racine après la négoce. Je n’en dis pas plus, vous allez bientôt savoir comment je compte m’y prendre.

Je me demande bien pourquoi le kidnappeur m’appelle, on va bientôt le découvrir.

-Allo, pourquoi m’appelles-tu?

-Serais-tu intéressé à ravoir tes mercenaires? Si oui, viens seul à l’abattoir désaffecté de Vicente Street. T’as le droit qu’à un seul autre mercenaire, même chose pour moi. Je t’y attends ce soir même.

Il a raccroché. Le vieil abattoir de Vicente Street, un lieu lugubre fermé depuis 7 ans car la compagnie qui l’exploitait a fait faillite. Je ne sais combien d’accidents sont arrivés avec les machines qui y sont : de gros cubes métalliques où les vaches et autres animaux s’en vont via l’action d’un tapis roulant. Là dedans, une série de lames les attends. Tant d’employés ont perdu des bras, des morceaux de jambes et autres, tant de civils extorqués par certaines familles ont étés retrouvés là, morts. Puis, après ces machines, il reste encore une série de lames afin d’être sur que tout soit bien coupé. Ensuite, il y a un certain nombre de morceaux allant vers le dépotoir et un autre allant à l’empaqueteuse afin d’être livré aux acheteurs. Le tout nécessite bien sur de l’électricité et, vous pensez qu’il n’y en a plus car le bâtiment n’est plus occupé, mais le tout fonctionne sur une série de génératrices à gaz situées au sous-sol de l’établissement. L’autre partie, entièrement détachée de l’abattoir, est les bureaux de l’ex entreprise. Il n’y a rien là. Seulement quelques endroits ayant une vue vers certaines fenêtres pouvant être utilisés pour une protection. Sinon, il faudrait que j’envois fort bientôt des troupes dans le bâtiment central afin qu’ils puissent se cacher et m’offrir de bons renforts. J’aurai besoin d’un minimum de 50 mercenaires là-bas. Je les envois à l’instant. J’aurai enfin mes mercenaires. Il ne se rend pas compte de l’erreur qu’il vient de faire!

Bon, je suis maintenant dans le vieux parc, je vérifie l’état de fonctionnement de tout et, je choisis un endroit pour installer Léon et ses amis. Ce sera tellement bien placé que Moimeme risque de payer pour leur libération par pitié pour eux! Maintenant, combien de mercenaires me donnera-t-il? Avec 1,5M dollars, j’ai 300 nouvelles unités! C’est très bien tout ça! Peut-être que je monterai à 200K par mercenaire afin d’en avoir 400. C’est toujours bien tout ça. Au moins je ne lui ai pas encore dit le prix! Il faudrait que je l’appelle pour le lui dire. Bon, il ne reste plus qu’une demie heure, je devrais l’appeler là!

-Moimeme, j’ai changé le lieu du rendez-vous, ce sera au vieux parc d’attraction de San Francisco. Si tu veux tes mercos, apporte deux millions de dollars là bas.

Voilà qu’il change le lieu de rendez-vous! Il m’a eu royalement cette fois mais, je vais quand même envoyer des troupes d’élite dans les lieux environnants. Mes 50 mercos vont se précipiter de l’abattoir au parc. J’espère qu’ils feront attention au bruit qu’ils feront en arrivant!Il faut quand même pas qu’ils gâchent tout! Doues vies sont en leurs mains, il ne faut pas qu’ils fassent trop de grabuge car, si ces doues personnes doivent survivre, il faut que l’adversaire soit fort surpris.

Le vieux parc, un endroit si lugubre. Abandonné depuis 1996, un lieu de désolation en plein cœur de San Francisco où plus personne ne veut construire. Un gamin y est mort et, quelques mois plus tard, le parc fermait : plus assez de clients et les frais de la poursuite étant faramineux. Revenons un peu dans le temps afin de connaître un peu les événements tragiques s’y étant produit. C’était le 4 juillet 1996, une très belle journée s’annonçait. Tout le monde fêtait le fameux « Independance Day » et, le maire de la ville n’en fessait pas exception. Pour l’occasion, il avait emmené ses 2 enfants et sa femme avec lui au « Palo Alto Acres Of Fun ». Toute la famille décida d’aller dans une terrifiante montagne russe : The Death Of a Legend. Un monstre d’acier construit 2 ans plus tôt, la fierté du parc. C’était un manège comportant plus de 4 inversions, une descente d’une hauteur de 250 mètres, un demi kilomètre vertical, et, plusieurs tournants très serrés. Tous devaient y entrer mais, seul le garçon est arrivé à temps pour partir car, sa sœur échappa sa crème glacée dans l’allée et, malgré les demandes de sa mère, il n’est pas resté à attendre. Il n’y avait pas beaucoup de gens dan le par cet, par un certain hasard, le garçon était seul, en avant du train. Le préposé vérifia si tout était bien attaché, comme à l’habitude, et, appuya sur le bouton de départ du train et, comme d’habitude, le manège partit. Le rejeton du maire était maintenant en train de monter et, rendu à 140 mètre, la chaîne lâcha, arrêtant l’ascension du wagon et le propulsant vers l’arrière. Les roues étaient faîtes pour ne tourner que dans un sens mais, dans l’autre, elles pouvaient plus facilement se détacher, brûler ou tout autre choses « joyeuses » dans le genre. La station étant munie d’un dispositif de freins magnétiques pour un côté, fit rôle d’accélérateur dans l’autre. Rendu au premier tournant serré, les roues, tournant trop rapidement s’embrasèrent et se détachèrent immédiatement après. Le véhicule vola quelques temps avant de percuter un mur de béton. Les seuls restes étaient du sang, des os broyés, réduits en poudre et d’infimes morceaux d’organes. Il était définitivement mort. Si c’était arrivé à quelqu’un d’autre, il y aurait eu une moins grande couverture médiatique mais, le fils du maire de la ville, en pleine campagne électorale. L’événement fit la une des journaux du pays, le discours présidentiel ne se trouvait plus qu’en 15ème page. Toutes les autres parlaient du pauvre môme. Le parc fut poursuivi pour la somme de cinq millions de dollars par le maire et sa femme, pour deux millions par chacun des partis, un recours collectif fut fait par les passagers du train précédent car, cela aurait pu leur arriver. Puis, la ville décréta le manège dangereux et, l’état força la fermeture du parc mais, après maintes négociations, il fut rouvert mais, plus personne ne voulait y aller, par peur de mourir à son tour. Ils firent alors faillite. Quatre ans plus tard, un promoteur voulut y bâtir des condos de luxe. Tout d’abords, plusieurs vinrent visiter le site Internet mais, dès qu’ils voyaient l’adresse où la localisation sur une carte, ils formaient immédiatement la page. L’homme renonça alors au projet et, rien ne fut fait pour refaire un projet en ces lieux.

Voici une simple description des lieux. Tout d’abords, il y a l’entrée principale, située en plein centre du mur est du quadrilatère. À droite, quelques boutiques, stands de tir puis, plus loin, le « monde des petits ». Un endroit principalement pour les moins de huit ans. Devant, le fameux « District 13 »avec ses grosses montagnes russes dont le notoire « Death Of A Legend ». L’endroit par excellence pour les amateurs de sensations fortes. Finalement, à gauche, des manèges presque au niveau du sol, un mélange des 2 autres lieux avec quelques hébergements puis, l’administration. Le tout sur un terrain de deux kilomètres carrés.

Une Roll Royce noire circule tous phares éteints. Elle s’engage à basse vitesse dans le stationnement du parc. Seuls deux occupants y sont installés : moi et un demies meilleurs hommes. Quelques autres véhicules y sont, aucun ne m’appartient. Parfait, ils ont bien camouflés l’auto s’ils ont réussi à se rendre. Tout est calme et sombre. J’entres dans le parc par la grille d’entrée laissée entrouverte. Personne n’est là pour m’escorter ou m’accueillir. Est-ce un piège? Dois-je rebrousser chemin? Non, je ne peux plus le faire. Si je pars, dix hommes meurent, si je restes aucun ne périra. Il m’attend, je le sais mais, où est-il? J’ai ma petite idée là-dessus. Reste à savoir s’il est prévisible à ce point! Je m’avance tranquillement dans l’allée centrale, les lumières de la ville éclairent juste assez pour voir la forme fantomatique des manèges de haute altitude. Un brouillard s’installes tranquillement vu la localisation de cet endroit : sur le bord de la baie de San Francisco. Soudain, les alunières bordant l’allée s’allument mais, à peine. Elles fonctionnent sur quelques génératrices, c’est bien normal. Seule une pâle lueur en sort, ajoutant ainsi une petite touche lugubre à l’atmosphère. Plus je m’approche du « Death Of A Legend », plus j’ai l’impression que ça va mal tourner. Une chance que je suis décidé car, sinon, je serais assis confortablement dans ma voiture en ce moment même. Je distingue enfin quelques silhouettes là-devant. Je reconnais l’homme au centre. Les deux autres sont probablement ses gardes du corps. Mais, je ne vois ni Léon, ni ses compères. À suivre…

(HRP) Désolé, j'avais des exams donc, je poste aujourd'hui plusieurs pages.(/HRP)

-Je croyais que l’entente stipulait que les troupes seraient ici, c’est quoi cette mascarade? Vous me kidnappez dix hommes, vous demandez une rançon, je vous l’apporte et vous n’emmenez même pas les sujets!

-Au contraire, ils sont bel et bien là.

C’est à ce moment qu’un projecteur s’allume, montrant dix hommes, attachés à la structure du manège.

-Tu les vois maintenant? Regarde donc ce qu’il reste.

Un autre projecteur s’allume. Montrant, Kalachnikovs à la main, quinze mercenaires. Dix pointent les otages, je suis la cible de 5 autres. Ils sont à quinze mètres de moi. Ils ont un excellent point de tir et il est impossible que je me cache pour les éviter.

-Donnes-moi l’argent, je te les rendrai peut-être après.

J’appuie subtilement sur le bouton d’appel d’un walkie-talkie ayant le volume au minimum. Il ne me reste qu’à espérer qu’ils sont là et aux aguets. Je crie donc du plus fort que je le peux:

-Merde!

Au moment même où mes adversaires s’apprêtent à tirer, cinquante mercenaires à ma solde ouvrent le feu. Une pluie de balles tombe aux alentours de ses hommes, aucun n’y survit. Plus rien ne bouge, aucun bruit ne se fait entendre. Ils sont tous morts. Quelques temps après, j’entends un crissement de pneu. Leur chef s’est enfui. Une chance qu’il a pris la valise, il aura une belle petite surprise demain. Maintenant, les otages sont enfin délivrés, ils sont exténués par toutes les tortures qu’ils ont subies. Je les comprends. Maintenant, ma vengeance peut officiellement commencer. À suivre…

(HRP) Merci beaucoup d’avoir suivi jusqu’ici mon histoire. La suite arrivera bientôt. Les préparatifs sont presque terminés et, le massacre aura lieu. (/HRP)